Fasciné par les éoliennes et les phrases trop longues, Bernard Deglet vit au bout du couloir de la chimie, à gauche, au numéro 2, entouré de ses épouses, chats et enfants, d’une centrale nucléaire, d’un incinérateur, d’innombrables piscines autoportantes bleues et de quelques usines Seveso.
Il a publié Probable le mercredi, un roman, en 2006, chez Maren Sell éditeurs, et écrit régulièrement des miniatures et poèmes dans des revues littéraires.
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